Petite Messe Solonnelle de Rossini

Église Sainte Marie, Le Boulou

Date et Heure 15-Oct-2023    17:00 - 18:30

Prix adherent(e) 26+:  €15 
Prix adherent(e) 16-25:  €10 
Prix non-adherent(e) 26+:  €20
Prix non-adherent(e) 16-25:  €12 
Prix Pass Thermal:  €18 
Moins de 16 ans: Gratuit
Capacité:   156
Parking à proximité:  
Accessible aux handicapés: 
Parking handicapés: 
Organisé par Musiques & Voix en Pays Catalans
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Artistes

Sabine RIVA : Soprano
Liying YANG : Mezzo
Iannis GAUSSIN : Ténor
Julien VÉRONÈSE : Bariton
Emilie BENTERFA : Piano
Accordéon : ?
Direction : Christian PAPIS

Programme

La Petite Mese Solonnelle de Rossini
Version piano et accordéon

Le premier mérite de cette représentation décalée du testament artistique de Rossini est de revenir aux intentions musicales originelles de la partition. Pas d’orchestration emphatique, ni de chœur pléthorique. Le retour à l’effectif réduit de « douze chanteurs de trois sexes » tel qu’indiqué par le compositeur lui-même sur la première page de son manuscrit rend encore plus évidente la subtilité de la polyphonie.

« Bon Dieu. La voilà terminée cette pauvre petite messe. Est-ce bien de la musique sacrée que je viens de faire ou de la sacrée musique ? J’étais né pour
l’opera buffa, tu le sais bien ! Peu de science, un peu de cœur, tout est là. Sois donc béni et accorde moi le Paradis. »

El primer mèrit d’aquesta representació poc convencional del testament artístic de Rossini és tornar a les intencions musicals originals de la partitura. Ni una orquestració contundent, ni un cor inflat. El retorn al nombre reduït de “dotze cantants de tres sexes” tal com indica el mateix compositor a la primera pàgina del seu manuscrit fa encara més evident la subtilesa de la polifonia.

 » Bé Déu. Aquest és el final d’aquesta pobre missa. És realment la música sagrada que acabo de fer o la música maleïda? Vaig néixer per Opera buffa, ja ho saps! Una mica de ciència, una mica de cor, hi és tot. Així que siguis beneït i concediu-me el cel. »

The first merit of this offbeat representation of Rossini’s artistic testament is to return to the original musical intentions of the score. No emphatic orchestration, no bloated choir. The return to the reduced number of “twelve singers of three sexes” as indicated by the composer himself on the first page of his manuscript makes the subtlety of the polyphony even more evident.

 » Good God. This is the end of this poor little mass. Is it really sacred music that I have just made or damned music? I was born for opera buffa, you know that! A little science, a little heart, it’s all there. So be blessed and grant me Heaven. «